Katmandou – Ōsaka

2 avions, 11 heures de vol, 4 heures de transit en pleine nuit à Kuala Lumpur et juste 5 minutes de pause.

On arrive au Japon par l’aéroport d’Ōsaka ! La première chose qui nous frappe, c’est l’odeur des rues, ça sent bon ! Dans les rues, dans le métro, et les gens… Tout sent subtilement bon.

Notre hôtel Mikado est super, il y a tout ce qu’il faut, même une Wii U et une PlayStation 2, la chambre est petite mais très confortable.
Où aller manger dans ce temple de la nourriture japonaise ? Ōsaka regorge de petits restaurants d’où sortent des effluves alléchantes. On va manger des brochettes chez Ganso ! Des kushikatsu, des brochettes panées qu’on trempe une fois dans la sauce soja, c’est super bon ! Assis en rang d’oignons face aux chefs, on commande 2-3 brochettes à la fois, les bâtonnets s’entassent et l’addition grimpe vite à 120-200 Yen la brochette :p

Ce sont les premiers pas au Japon pour Julia, elle est fascinée par l’ambiance des rues, on y retrouve la même atmosphère que dans les films d’animation de Miyazaki ou Makoto Shinkai. Des rues calmes et propres, avec des vélos bien rangés, aux rues plus animées où les restaurants de poche se pressent les uns contre les autres dont les drapeaux/enseignes cachent l’identité des 3-4 personnes qui y mangent.

Super bien dormis ! Ça faisait longtemps !
Rien ne presse aujourd’hui, thé vert et pain au melon pour commencer la journée. Quelques dessins sur le carnet de voyage, des mails en retard et on va manger au meilleur restaurant d’okonomiyaki d’Ōsaka qui se trouve à 2 minutes à pied de notre hôtel. Encore un mini resto d’une douzaines de places où le cuistot fait ses fameuses crêpes directement devant le client. En apprenant que nous sommes français, sa seule question fut : “Préférez-vous le pain ou les macarons ?”. Il en savait d’ailleurs plus que nous au sujet des macarons, leurs recette et la date d’invention ! :p
À la fin de ce repas délicieux et pas cher, la serveuse nous offre une gomme trop kawaii chacun.

L’après-midi, on marche longtemps… dans les grandes rues impersonnelles de la ville, jusqu’au château d’Ōsaka. On arrive juste pour le coucher de soleil.

Le soir, passage obligé à Dōtonbori, aux les halles sont si éclairées qu’on ne sait plus s’il fait jour ou s’il fait nuit… Tout Ōsaka est là, les vendeurs vont crier jusque dans la rue “irasshaimaseeee” et faire l’article de la dernière promo, c’est hyper bruyant, il ya des crabes géants sur les murs, ça clignote de partout et on peut manger de tout ! La spécialité c’est les boulettes de poulpes, les takoyaki, on est obligé d’y goûter, mais on trouve ça plutôt まあまあ (“māmā”).